Je rejoint Laurent H. (SCA) sur le massif au-dessus de la source de l'Agly pour faire une incursion dans le trou de la Pause. Après de gros travaux de désobstruction, cela faisait presque 20 ans que le SCA n'y était pas revenu. Le but de notre sortie est donc de revoir le fond et de continuer dans la foulée les travaux.
La cavité s'ouvre au milieu d'un ravin et par un petit ressaut, on prend pied dans une galerie plus large que haute. En la suivant vers l'aval, on s'engage rapidement dans un inférieur. A partir de là, les étroitures s'enchainent et les bottes se remplissent !
Nous parvenons finalement à un rétrécissement où les alluvions de crue se sont accumulés et empêche le passage. Nous entamons alors une désobstruction forcée et après quelques coups de massette et pailles, me voilà qu'il me prend la mauvaise idée de tenter de forcer le verrou (il faut dire que le courant d'air donne envie d'aller voir plus loin). Celui-ci passe en frottant un peu mais c'est au final pour mieux m'encastrer, tête en bas, dans la chatière qui fait suite. Jouant du pied avec l'aide de Laurent, je parvient finalement à passer l'obstacle. Laurent continu l'élargissement alors que je visite rapidement un supérieur qui s'ouvre en haut d'une petite cheminée. Finalement, Laurent tente lui aussi de franchir l'étroiture mais sa cage thoracique semble avoir pris du volume avec le temps et nous décidons de faire demi-tour.
Nous ressortons pour manger un morceau mais la pluie qui s'abat sur le massif nous contraint à prendre notre repas sous terre. Et après une bonne réflexion, nous concluons que la meilleur solution est de s'attaquer au supérieur dès l'entrée pour accéder plus rapidement à la zone profonde, d'autant plus qu'il ne semble y avoir que trois mètres à ouvrir. Nous y ferons d'ailleurs un tir avant de partir. Une fois se passage ouvert, un groupe électrogène avec un marteau piqueur nous permettrait de calibrer la suite pour reprendre les explos dans de bonne sconditions.
Il faut quand même noter qu'au vue de l'emplacement et du courant d'air, cette cavité est la voie royale vers l'Agly souterraine. Avis aux amateurs....
La cavité s'ouvre au milieu d'un ravin et par un petit ressaut, on prend pied dans une galerie plus large que haute. En la suivant vers l'aval, on s'engage rapidement dans un inférieur. A partir de là, les étroitures s'enchainent et les bottes se remplissent !
Nous parvenons finalement à un rétrécissement où les alluvions de crue se sont accumulés et empêche le passage. Nous entamons alors une désobstruction forcée et après quelques coups de massette et pailles, me voilà qu'il me prend la mauvaise idée de tenter de forcer le verrou (il faut dire que le courant d'air donne envie d'aller voir plus loin). Celui-ci passe en frottant un peu mais c'est au final pour mieux m'encastrer, tête en bas, dans la chatière qui fait suite. Jouant du pied avec l'aide de Laurent, je parvient finalement à passer l'obstacle. Laurent continu l'élargissement alors que je visite rapidement un supérieur qui s'ouvre en haut d'une petite cheminée. Finalement, Laurent tente lui aussi de franchir l'étroiture mais sa cage thoracique semble avoir pris du volume avec le temps et nous décidons de faire demi-tour.
Nous ressortons pour manger un morceau mais la pluie qui s'abat sur le massif nous contraint à prendre notre repas sous terre. Et après une bonne réflexion, nous concluons que la meilleur solution est de s'attaquer au supérieur dès l'entrée pour accéder plus rapidement à la zone profonde, d'autant plus qu'il ne semble y avoir que trois mètres à ouvrir. Nous y ferons d'ailleurs un tir avant de partir. Une fois se passage ouvert, un groupe électrogène avec un marteau piqueur nous permettrait de calibrer la suite pour reprendre les explos dans de bonne sconditions.
Il faut quand même noter qu'au vue de l'emplacement et du courant d'air, cette cavité est la voie royale vers l'Agly souterraine. Avis aux amateurs....
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